Première étape, aéroport de Madrid-Barajas, antichambre de l'Amérique du Sud, on fait le plein de patatas, on se délie un peu la langue dans la langue de Cervantes parce qu'il va bien falloir s'y mettre...
… on remonte dans l'avion en attendant gentiment que le train atterrissage vienne se ranger sous le fauteuil et que le Perrier fasse pshhhht... ça c'est le plan mais c'est sans compter sur les aléas du voyage... donc non pas vol de nuit, pour jouer les héros de l'aéropostale, faudra repasser, plutôt un vol de jour à courir derrière le soleil, faut pas se plaindre, après l'hiver parisien, une journée de soleil qui dure 17h ... essayons de comprendre pourquoi...